vendredi 26 mars 2010

Gérard Onesta aux relations internationales ; Françoise Dedieu-Casties au développement durable; François Simon aux solidarités

Les 91 nouveaux élus du conseil régional de Midi-Pyrénées sont installés ce matin à Toulouse (en direct sur France 3 Midi-Pyrénées). Pour la troisième fois consécutive, Martin Malvy va être désigné président. Il sera entouré de quinze vice-présidents.

ll n'y aura pas suspense en Midi-Pyrénées: Martin Malvy sera désigné ce matin président du conseil régional, pour la troisième fois consécutive, lors de l'installation des 91 nouveaux élus. Malvy confie avoir vécu cette semaine « en appréciant le résultat qui était le nôtre, avec la satisfaction de l'avoir obtenu avec nos engagements de départ».

Depuis lundi, le président du conseil régional et ses alliés, le PRG, le Front de gauche et Europe Ecologie négocient la distribution des rôles au sein du futur exécutif. « Nous avons travaillé sereinement pour parvenir à un accord qui sera finalisé vendredi matin, explique Martin Malvy. Nous avons dû tenir compte de certaines contraintes, comme la parité, ce qui implique des choix et des frustrations. »

L'accord, qui prévoit huit vice-présidences pour le PS, trois pour le PRG, trois pour les écologistes et un pour le Front de gauche, aurait été scellé tard dans la nuit de mercredi à jeudi. Couché vers trois heures du matin, un négociateur raconte : « ça n'a pas été compliqué pour le contenu de l'accord mais chacun a dû faire des efforts, à la fois sur la parité et les compétences de ses candidats. Ce n'est pas tout de placer là tel homme ou telle femme, il faut d'abord qu'il ou elle ait les compétences pour le poste ». Hier soir, on commençait à apercevoir le casting : première vice-présidente Nicole Belloubet (PS) avec l'éducation, l'enseignement supérieur et la recherche ; Jean-Louis Guilhaumon (PS) au tourisme ; Monique Iborra (PS) à la formation et à la politique de la ville ; Marie-Lou Marcel (PS) aux finances ; Marc Carballido (PS) à la montagne et à la politique transfrontalière, une toute nouvelle délégation ; Jean-Claude Traval (PS) aux associations ; Vincent Labarthe (PS) à l'agriculture ; Carole Delga (PS) à la ruralité; Charles Marziani (Front de gauche) aux transports ; Gérard Onesta (Europe Ecologie) aux relations internationales ; Françoise Dedieu-Casties (EE) au développement durable ; François Simon (EE) aux solidarités ; Dominique Salomon (PRG) à la culture ; Bernard Raynaud (PRG) au développement économique ; enfin, Michèle Garrigues (PRG) à l'évaluation des politiques publiques. Par ailleurs, les socuialistes obtiennent six commissions, les Verts cinq, le PRG, trois, et le Front de gauche, une. La commission des finances va être confiée à un écolo, elle sera considérablement renforcée.

Sébastien Marti

jeudi 18 mars 2010

La présence soutenue d'Europe Écologie sur le marché de Revel aurait-elle porté ses fruits dans les urnes ?

[...] Verts en hausse. La présence soutenue d'Europe Écologie [...] sur le marché du samedi de Revel aurait-elle porté ses fruits dans les urnes ? Il semble que oui. Toutefois, elle aura surtout profité aux écologistes qui enregistrent, sur le canton, une poussée de plus 6, 03 point (12, 18 % avec Gérard Onesta, contre 7, 22 % avec Jean-Pierre Bataille).
La Dépêche du Midi

mardi 16 mars 2010

«Pour vous, une région rassemblée»

La Dépêche du Midi
Épuisés après quarante-huit heures de discussions marathon pour constituer une liste d'union de la gauche, Martin Malvy (PS-PRG-MRC), Gérard Onesta (Europe Ecologie) et Christian Picquet (Front de gauche) ont officialisé hier à Toulouse l'accord scellé lundi pour le second tour des élections régionales. « Tu as dormi, toi » lance en aparté Martin Malvy à Gérard Onesta. Jusque tard dans la nuit de lundi à mardi, le président sortant du conseil régional avait en effet rendu les ultimes arbitrages sur les listes départementales où les candidats socialistes ont été priés de faire de la place au Front de gauche et aux écologistes. Martin Malvy avoue « un pincement au cœur » pour les trente-deux candidats qui ont été poussés vers la sortie ou expédiés en queue de liste.

Ainsi, en Haute-Garonne, les conseillers régionaux sortants Didier Cujives et Christian Califano ont respectivement reculé aux 29e et 33e places. Président de la commission tourisme au conseil régional, Pierre Castéras a même été sorti de la liste.

Dans l'Ariège et dans le Comminges, ça râle sévère : le maire de Luchon, Louis Ferré, a été évincé au profit du maire d'Arbas, François Arcangeli (Europe Ecologie), militant pro-ours en rupture avec les élus socialistes des Pyrénées. « On a payé cher l'union avec les écologistes » confie un haut responsable du PS. L'accord en effet prévoit quinze places en position éligible pour Europe Ecologie et sept pour le Front de gauche.

C'est d'ailleurs avec un sourire radieux que Gérard Onesta, désormais en troisième position sur la liste de la Haute-Garonne, a « rendu hommage à Martin Malvy, qui avait toutes les cartes en main pour dicter sa loi et qui a souhaité le rassemblement ».

Christian Picquet, à la dix-neuvième place en Haute-Garonne, s'est dit lui « pleinement satisfait ». Une profession de foi commune a été rédigée ; elle reprend les dénominateurs communs des trois programmes. « Chacun pourra y retrouver son vote du premier tour » estime Gérard Onesta. « Personne n'était là pour renoncer à ce qu'il était » affirme Martin Malvy, précisant que les discussions se sont déroulées « simplement et rapidement ».

Enfin, alors que la victoire de la gauche ne fait guère de doute en Midi-Pyrénées, les négociations pour la répartition des postes au sein de l'exécutif régional n'auraient pas encore eu lieu. « Elle se fera à la proportionnelle » explique Martin Malvy. « Il reste une campagne à mener pour le second tour, ajoute Gérard Onesta. Parler aujourd'hui de partage des postes serait indécent. »

L'accord intervenu lundi à 18 heures entre les trois têtes de listes porte sur une répartition des places proportionnelle aux scores obtenus par chacun au premier tour des élections régionales. Le Parti socialiste et les candidats issus de la société civile conservent 58 places, Europe Ecologie 21, le Parti radical de gauche (PRG) 16, le Front de gauche 11 et le MRC 1. Le Front de gauche et Europe Ecologie pourraient, selon les projections, obtenir respectivement 7 et 15 élus. La liste d'union se nommera «Pour vous, une région rassemblée».

mercredi 10 mars 2010

Dernier meeting Europe Ecologie Midi Pyrénées avant le 1er tour ...


Ce 9 mars 2010, Dominique Voynet, Sénatrice et Maire de Montreuil, est venue soutenir la liste Europe Ecologie Midi Pyrénées. Cela fait tout juste 10 ans que je l'ai rencontré, pour la première fois, à la Sorbonne à l'occasion d'un travail universitaire que je menais sur le Syndicalisme étudiant; elle était alors Ministre de l'écologie. Aujourd'hui, nous l'avons accueilli avec Gérard Onesta au Bikini ... le Bikini tout un symbole ... étymologiquement le mot vient de "bombe" ... s'inspirant de l'atoll Bikini où a eu lieu la première explosion nucléaire américaine; puis la salle de spectacle Bikini a été déplacée de Toulouse à Ramonville St Agne car la salle se trouvait non loin du lieu d'une autre explosion, celle d'AZF ...
C'est une nouvelle explosion que nous souhaitons mais une explosion écologiste ... une bombe dans les urnes, justement pour éviter les erreurs passées et agir pour les générations futures!

lundi 8 mars 2010

A la une ... Europe Ecologie


... la distribution du numéro spécial a été un véritable plaisir, le soleil était au rendez-vous ce weekend, Revel accueillait son marché traditionnel et notre "ON A LA(DE)PêCHE" s'est arraché comme du p'tit pain, que ce soit autour de la halle revéloise en matinée ou dans les rues de la ville rose l'après-midi.
Nous nous sommes également payés le luxe de faire campagne devant le siège de Brigitte Barège ... un régal vous dis-je ... Vous pouvez découvrir le numéro dans son intégralité en cliquant sur le lien en haut à droite.

dimanche 7 mars 2010

Champion Olympique, Champion du Monde, Champion d'Europe et Champions de la Région Midi Pyrénées

Leurs grands-pères italiens étaient frères. La tête de liste régionale d'Europe Ecologie, Gérard Onesta (Europe Ecologie), et le sélectionneur de l'équipe de France de handball championne olympique, du monde et d'Europe, Claude Onesta (Les Bleus), sont cousins. Hier, le second est venu soutenir le premier : « Pour témoigner que c'est un mec bien », affirme Claude Onesta, pourtant « tenu à un devoir de réserve » en tant que sélectionneur national. « Mais nous sommes cousins, et je n'en ai pas honte [...] » Gérard Onesta, qui dit avoir été « beaucoup influencé par la façon dont Claude dirige son équipe » [...]

De son côté, Claude Onesta se définit comme « un homme de gauche », qui tient à « garder de la distance » avec le milieu de la politique. Mais il n'exclut pas « s'engager un jour ou l'autre », pour « faire bénéficier de [son] expérience ». Et si le sport n'est pas l'une des priorités des politiques régionales, que pensent les deux cousins du soutien à l'organisation des Jeux Olympiques d'hiver dans les Pyrénées en 2022, que défendent les listes concurrentes ? Pour Gérard, qui « craint que l'on siphonne le budget public pour ça, c'est un gag, du bling-bling » ; Claude, qui défend « une relation passionnelle à l'olympisme », considère « que ça n'a aucun sens si c'est juste un effet d'annonce. Dans le cas contraire, c'est un dossier qui peut être intéressant et prolifique ».

LDM par Sébastien Marti

vendredi 5 mars 2010

Gérard Onesta et Europe Ecologie devant l'UMP?


La surprise de cette enquête provient de Gérard Onesta et de Génération écologie qui feraient aussi bien que Bové aux Européennes, tout en multipliant par deux le score écologiste de 2004. Les Verts et leurs alliés alternatifs pourraient ainsi se maintenir lors d'un second tour [...]

La Dépêche du Midi